30.11.13

Zimbabwe: Um problema de liquidez

TOP Zimbabwean banker has spoken out on the country's liquidity crunch rocking the financial services sector and the economy, saying government must show policy consistency and re-engage the international community to normalise diplomatic relations while attracting foreign investment. Barclays Bank MD George Guvamatanga, who is also Bankers Association of Zimbabwe (Baz) president, told bankers last week at a 2013 Zimbabwe Independent Banks and Banking Survey event at a local hotel in Harare that government must move with urgency and clarity to tackle the resurging economic problems which followed the recent general elections. Guvamatanga said government also needed to recapitalise the Reserve Bank of Zimbabwe (RBZ), indicating a functional and adequately capitalised central bank would restore its lender-of-last-resort status. He said good corporate governance within the banking sector is critical to boosting market confidence, improve liquidity and save financial institutions from collapse. While deposits grew from US$3,7 billion between June 30 2012 to US$3,9 billion by June 30 2013, banks are saddled with massive non-performing loans. Banks have been keen to lend as shown by the loan-to-deposit ratios of over 90%, but companies are failing to repay, thus contributing to the liquidity problem. The deteriorating balance of payments due to the widening gap between exports and imports, among other things, is exacerbating the situation. Analysts say banks need a massive cash injection to avoid a full-blown crisis across the economy -- reeling from company closures and retrenchments -- given the persistent negative balance of payments. "I have a long career in treasury space and I know that if there is anything that a bank can surrender to, its liquidity. If there is no money, you are as good as dead," said Guvamatanga. Zimbabwe Independent

RCA: A desagregação de um país

L'écrivain congolais Alain Mabanckou (foto)
l'a dit éloquemment : "Le désespoir des Africains est lié à l'état actuel du continent : des monarques qui ont verrouillé le pouvoir et qui utilisent les richesses des nations comme si elles leur appartenaient, poussant du coup les populations à vivre dans des conditions d'indigence criante. Qui sont les faiseurs de rois en Afrique ? Les anciennes puissances coloniales !" À cette tare africaine dont aucun autre continent ne souffre à ce degré s'ajoute ce que l'actualité nous met sous les yeux. 1) Au coeur du continent, l'un de ses 54 pays, la République centrafricaine, se désagrège inexorablement depuis huit mois sans que l'organisation régionale, la Communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (Cemac), qui y a son siège, trouve un moyen sinon d'arrêter, du moins de freiner le mal dont ce pays a été saisi et qui le conduit au suicide. L'Union africaine a pris l'initiative louable d'aider l'Égypte à régler les problèmes institutionnels et politiques créés par la destitution, le 3 juillet dernier, du président élu, Mohamed Morsi. Elle a choisi et affecté à cette lourde tâche un groupe de travail présidé par Alpha Oumar Konaré. En silence, comme il sied, et en prenant leur temps, le président Konaré et ses collègues progressent vers la bonne solution. En revanche, cette même Union africaine ne donne pas l'impression d'être concernée par la tragédie qui endeuille le centre du continent. Ex-puissance coloniale, la France multiplie les appels pour que l'on vienne au secours de la Centrafrique, mais se garde bien, et on la comprend, de prendre sur elle la lourde charge d'y rétablir l'ordre. Il faudra donc attendre que la machinerie de l'ONU, réputée pour sa lourdeur et sa lenteur, se mette en marche. Avec l'espoir que la "menace génocidaire" n'ait pas rendu son intervention impossible ou sans objet. L'ONU et la France pourraient conjuguer leurs moyens pour une action plus rapide. Quant à la Cemac, elle continue de feindre d'exister, même si les scandales financiers qui ont terni son fonctionnement n'ont jamais suscité ni de vraies sanctions ni un assainissement digne de ce nom. * 2) Pendant ce temps, dans le nord du continent, l'une des petites conséquences du Printemps arabe a été la mort de l'Union du Maghreb arabe (UMA). Mal nommée à sa naissance, composée de cinq pays dont deux périphériques, la Libye et la Mauritanie, qui n'auraient pas dû en être, elle n'a jamais vraiment existé ni joué de rôle significatif. La voici disparue corps et biens, et ce n'est pas plus mal. Mais quid de l'idée d'un Maghreb non désuni qu'elle a tenté de ne pas laisser mourir ? Que faire pour que la disparition de la non regrettée UMA n'entraîne pas les pays du Maghreb à s'installer dans le "chacun pour soi", avec des frontières fermées ou, lorsqu'elles ne le sont pas, perméables à tous les terroristes et au trafic d'armes ? * 3) Mais c'est le lieu et le moment de parler de l'Union africaine elle-même. Notre organisation continentale rassemble en théorie les 54 pays du continent, dont le Soudan du Sud, enfant d'une scission, et la République arabe sahraouie démocratique (RASD), pays virtuel reconnu, le plus souvent, par des gouvernements désireux de plaire à l'Algérie... Mais, comble du paradoxe, le Maroc, membre fondateur de l'Organisation de l'unité africaine (OUA), ne fait pas partie de l'Union africaine. On peut donc dire de cette Union africaine qu'elle "embrasse trop et n'étreint pas assez" et qu'elle s'évertue à ressembler à l'Union européenne sans y parvenir, tant s'en faut. Mais le plus grave, je le trouve dans les échos qui nous parviennent de son siège à Addis-Abeba et dont il me faut vous parler tant je les trouve préoccupants. * Il semble bien que se soit réalisé ce que beaucoup avaient craint lorsque l'Afrique du Sud, principale puissance économique du continent, a voulu - et fait en sorte - que l'un des siens soit élu à la présidence de la Commission. Tout se passe en effet comme si, avec Nkosazana Dlamini-Zuma à la tête de la Commission depuis un an, l'Afrique du Sud elle-même avait réalisé une OPA sur l'Union africaine, puisque ladite commission serait dirigée, dit-on, par un "deuxième cabinet de la présidente", formé de fonctionnaires venus d'Afrique du Sud. Ce serait au sein de ce cabinet que se prendraient les vraies décisions. Rappelons que dans aucune autre organisation de ce type on ne confie la présidence à un citoyen du pays dominant : a-t-on vu un citoyen de l'Allemagne réunifiée à la présidence de la Commission européenne ? Ou un Américain secrétaire général des Nations unies ? Inimaginable ! La faute ayant été commise, il faut en assumer les conséquences jusqu'à la fin du mandat de Nkosazana Dlamini-Zuma, en 2016. Mais prendre d'ores et déjà, avec l'accord de l'Afrique du Sud, les dispositions pour ne la renouveler en aucun cas. Le pronostic évoqué au début de cette chronique a toutes les chances de se vérifier, et les Africains vont sentir, dans les prochaines années, que leur continent s'est mis à bouger parce qu'il est en train de décoller économiquement. Une meilleure gouvernance sera alors une absolue nécessité, et ceux des présidents qui rechigneront à laisser la place seront chassés du pouvoir, car l'alternance sera devenue la règle. Un fléau comme le paludisme, dont ne se préoccupent suffisamment ni les gouvernements africains ni leur Union africaine, devra être éradiqué. Les Subsahariens des nouvelles générations n'en seront que mieux pour assurer le développement économique. La régression politique apportée à la Tunisie et à l'Égypte par l'accession des islamistes au pouvoir devra être surmontée d'une manière ou d'une autre car elle interdit la bonne gouvernance. La lutte contre le salafisme et son corollaire terroriste cessera d'être menée en bonne partie par les puissances extérieures à l'Afrique pour devenir ce qu'elle aurait dû déjà être : l'affaire des Africains. Lire l'article sur Jeuneafrique.com

Iémen do Sul pretende recuperar autonomia

Yemeni southern separatists called for demonstrations on Saturday to press for independence following a speech by Yemeni President Abdrabuh Mansur Hadi in which he warned against attempts to undermine the country’s unity. Southern separatists complain of discrimination by the north and have recently pulled out of a national dialogue with the central government. They have called for a rally on Saturday in Aden, the main southern town, to press their demands for autonomy. South and North Yemen united in 1990. The contentious question of separation has been a stumbling block for the national dialogue process, in which members of the Southern Movement have been demanding greater autonomy. The dialogue is part of a transitional process stipulated by a U.N.-backed initiative, brokered by neighboring Gulf countries, which ended a year of Arab Spring-inspired protests and eased President Ali Abdullah Saleh out of office in 2012, after 33 years in power. President Abdrabuh Mansur Hadi on Friday ruled out ever allowing the partition of the country. “I will not allow anyone to haggle over the issue of the south of Yemen's unity,” Hadi said in a speech marking the 46th anniversary of the independence of South Yemen from British occupation. (With AFP and Reuters)

O Africom nas Lajes da Terceira?

Governo português recuperou a ideia antiga de instalar na Terceira uma parte da estrutura do Africom, um dos seis quartéis-generais militares regionais do Departamento de Defesa dos EUA, apurou o PÚBLICO. Será uma das soluções alternativas para a redução militar norte-americana para a Base das Lajes. As mensagens começaram a surgir, embora de forma encriptada. O Governo português desdobrou-se, esta semana, em declarações para sinalizar o seu empenho na solução do problema criado com a redução da presença norte-americana na Base das Lajes. Sem assumir, no entanto, qualquer saída concreta para as negociações em curso. Mas, ao que o PÚBLICO apurou, existem já propostas em cima da mesa. Nomeadamente instalar ali parte da estrutura do Africom. Ontem, a secretária de Estado da Defesa, Berta Cabral, afi rmou em Ponta Delgada que estava já em marcha “um conjunto de iniciativas de mitigação dos impactos negativos da redução militar que o Governo dos EUA pretende promover na Base das Lajes” para a eventualidade de fracassarem os esforços diplomáticos junto do Senado norte-americano no sentido de congelar a redução de efectivos. Na passada quinta-feira, o Ministério dos Negócios Estrangeiros fez sair um comunicado no qual manifestava o “empenho do Governo português em trabalhar numa linha de actuação abrangente que permita mitigar as consequências políticas, económicas e laborais da anunciada decisão norte-americana”. Ambos os ministérios foram questionados para precisar o que estava em causa. Tanto no MNE como na Defesa se optou pelo silêncio. Com o argumento de que assumir a existência de um plano B faria perder força e argumentos ao ainda em curso processo de congelamento da redução de efectivos junto do Senado norteamericano. Mas, ao que o PÚBLICO apurou, o Governo português encara como alternativa à redução, a instalação na Base das Lajes de “alguma estrutura” do Africom. O anterior presidente do Governo açoriano, Carlos César, chegou a defendê-lo publicamente. O PÚBLICO sabe que a alternativa Africom tem sido debatida com responsáveis norte-americanos, tanto pelo Governo central como pelo Governo regional. Aos mais variados níveis, seja nos contactos com a Administração norte-americana e Pentágono, seja nos encontros com representantes políticos no Congresso em Washington. Nesta fase do processo, no entanto, ninguém quer assumir a questão. No Palácio das Necessidades, por exemplo, a cautela justifica-se com a necessidade de gerir o “excesso de expectativas”. O foco está ainda no esforço diplomático para confirmar no Senado a emenda às leis de Orçamento e Política de Defesa para 2014, aprovada este Verão na Câmara dos Representantes. O problema é que não está ainda garantido que a emenda que congela a redução de efectivos venha a ser aprovada no Senado. Havendo quem reconheça, no interior do Governo, que o “resultado mais provável é aquele que não desejamos”. Um resultado previsível, se se tiver em conta o que está a suceder de há uns meses nas Lajes. Enquanto em Washington se faziam as démarches, a Força Aérea norte-americana avançou com os planos de redução. Foi reduzido o tempo de destacamento dos militares americanos, e estes foram impedidos de trazerem as respectivas famílias, como acontecia anteriormente. De acordo com os dados recolhidos pelas autoridades açorianas, cerca de 150 familiares de militares da Base das Lajes abandonaram a ilha da Terceira, deixando vazias mais de 60 moradias arrendadas. Com o argumento da presente situação volátil no continente, o proliferar de conflitos poderia abrir perspectivas no sentido de tornar a localização das Lajes como uma mais-valia para os EUA. O Africom está actualmente sedeado em Estugarda, na Alemanha. E tem estruturas a si subordinadas espalhadas pela Europa. O Exército está instalado em Vicenza, Itália. O comando naval está também naquele país, em Nápoles. O efectivo aéreo está em Ramstein, na Alemanha. Uma força de reacção rápida, composta por 550 fuzileiros, foi deslocada este ano para Móron, em Espanha. E o contingente de Forças Especiais está instalado em Estugarda. “O Governo está a trabalhar numa linha de actuação abrangente que permita mitigar as consequências políticas” nas Lajes, Portugal foi tentando negociar utilizações alternativas. De 2007 para cá, estiveram em cima da mesa propostas como treinos dos novos aviões militares norte-americanas F-22 e F-35, a instalação de um sistema de armamento de mísseis hipersónicos ou a colocação do Africom. Nuno Sá Lourenço/PÚBLICO

29.11.13

Sudão: A multiplicidade dos grupos étnicos

Sudan needs to give real power to all its ethnic groups to end regional rebellions that still plague it two years after South Sudan broke away, a new opposition movement says. The founders of the National Movement for Change, themselves all Islamists, want to reach out to secularists and leftists in their campaign for an inclusive democracy to replace the Arab-dominated regime of President Omar al-Bashir. He seized power in a 1989 military coup and his rule is symptomatic of a political system which has failed since independence, the new movement says. "We are very concerned about designing a new political system for Sudan," said Khalid Tigani, one of the group's founders and chief editor of the weekly economic newspaper Elaff. Since independence from Britain and Egypt in 1956, Sudan has experienced only three periods of democracy lasting about 12 years in all, and endured more than 40 years of military rule. Each of these regimes tried to "impose their own views" on the vast African nation without effectively addressing its ethnic diversity, Tigani said. "Sudan is multi-cultural, multi-religious, multi-racial," he said. Prominent political scientist Al-Tayib Zainalabdin Mohammed, a cofounder of the new movement, said the group must reflect that diversity. "It has to represent other people: secularists, Islamists, leftists, and from different regions, women and young people and old people," he said. The movement is currently a "forum for dialogue" about how to govern the country, but Mohammed hopes it will become a political party in two or three years. In 2011, South Sudan, which has a mostly Christian or animist population, voted overwhelmingly to break away after successive civil wars lasting for most of Sudan's independent existence. Tigani said the problem in Sudan's western region of Darfur, where rebellion has continued for a decade, is similarly rooted in marginalisation. "There is some sort of elite from the centre of Sudan which is controlling everything, the power and wealth, and they are denying the other parts of Sudan equal rights," he said. Uprisings against the Arab-dominated Khartoum government also erupted two years ago among non-Arab groups in South Kordofan and Blue Nile states. In a report on Tuesday, the International Crisis Group of analysts spoke of "the elites' decades-long failure to achieve national consensus on how the country should be governed and to build an inclusive and peaceful state." Most Sudanese are Muslim but millions are non-Arab, and the country is home to a small Christian minority. The Movement for Change suggests that Sudan needs a "strongly federal government" with proportional representation that would ensure parliamentary and executive seats for all the country's groups. Mohammed pointed to Lebanon, where an unwritten but rigorously followed tradition provides that the president be a Maronite Christian, the prime minister a Sunni Muslim and the speaker of parliament a Shiite. Other countries including Canada also offer potential models, Mohammed said. In the Canadian Senate, seats are distributed to give each major region equal representation. The chamber also has a duty to represent the interests of minority groups. Government critics in Sudan have become increasingly vocal since September when dozens of people died in protests against a fuel-price rise of more than 60 percent, adding to two years of rising prices in the poverty-stricken nation. The Movement for Change emerged a few days after more than 30 prominent reformers in the ruling National Congress Party announced in late October that they would form a breakaway party. It was the most serious split in years within the ruling party and left Bashir talking of "reform" and a wide-ranging government shakeup. The breakaway group is led by former presidential adviser Ghazi Salahuddin Atabani, who told AFP on Saturday that his party has not been officially registered yet. Mohammed said Atabani wants to establish a "modified Islamic party." But the Movement for Change says the "Islamic" model in Sudan has failed at the hands of the Bashir goverment, which they regard as a corrupt military regime that has denied people's rights. Global Post

Timor-Leste: Os problemas da seropositividade

ETLJB 28 November 2013 -A review of the East Timor Health Sector Response to HIV/AIDS and STI program was conducted from 18 February 2013 through to 01 March 2013 by Dr. Po-Lin Chan, Mr. Freddie Mawanda, Ms. Ravipa Vannakit and Dr. G. Weerasinghe with the support of WHO and USAID. ETLJB has previously published critiques of the HIV/AIDS public health policy in East Timor previously and statistics have shown an increasing number of HIV infections in recent years. (See also the links to posts at the end of this article.) While most developed nations formulated public health policies, laws and public education programs early in the stages of the HIV/AIDS epidemic which have been very successful at reducing and minimising the transmission of HIV as well as developing drug treatments and availability that have rendered HIV practically a manageable chronic illness rather than a fatal disease, the report on the review of East Timor's health sector response has highlighted numerous deficiencies and that there is a growing trend that the HIV epidemic may be evolving from “low-level” to higher HIV prevalences. Some observations in the report are worth noting. For example, the report states that "[s]ex between men is not uncommon. Unprotected anal sex carries a high risk of HIV and STI infection, beside vaginal sex and needle use/injecting drug use. In the 2004 study, 12% of soldiers and taxi drivers, and 5% of male students, had anal sex with another man in the previous year. Over 40% of those men had also recently had sex with a woman. The authors noted that irrespective of how people think of themselves as heterosexual, homosexual or transgender, they are in practice behaviorally bisexual. These “bisexual” individuals can act as a bridge by which HIV and STI can pass from groups with higher risk behaviour to others with lower risk behaviour (termed “sexual mixing”). (at page 46). Next, the report notes that "despite the increasing coverage of prevention interventions for both FSWs and MSMs including the related groups of clients of sex workers and an emerging at-risk group of ‘clients of MSM’ - quality of prevention interventions is inadequate. This is reflected by inconsistent condom use across the at-risk groups, very low risk perception for HIV and STI infections including inadequate knowledge of where to access condoms when the need arises. Sexual mixing i.e. at-risk groups and MARPs (Most At Risk Populations) having multiple partnerships, regular and casual partners including ‘lower risk’ partners such as wives, increases the risk of HIV and STI transmission within the population. (at page 47). It also reports that "[l]evels of unprotected vaginal and anal intercourse are high among sex workers, with only 16% and 12% of women using condoms 100% of the time for vaginal and anal intercourse, respectively, with a paying client in the previous 12 months." (page 44) In regard to condom use, the report finds that: "Stakeholders report that a major challenge in the promotion of condom use is religious sensitivities, with resultant conflicting messages. This finding is apparent also in discussions with MARPs who belong to the religion. The MOH and NAP have engaged faith-based leaders and the Church in lengthy discussions, and the consensus seemed to follow the edict of Pope Benedict XVI which is “it is acceptable to use a prophylactic when the sole intention was to ‘reduce the risk of infection’ from AIDS. Contraception interferes with the creation of life, but using a condom to preserve life and avoid death could be a responsible act – even outside marriage”. This messaging, however, has not been widely disseminated and thus confusion reigns within service providers and community what the appropriate message should be." There is no allocated budget for HIV prevention activities within the prison system. (page 49) The report concludes, inter alia, that "[t]he growing body of data available on HIV/STI in the last few years suggests that the HIV epidemic may be evolving from “low-level” to higher HIV prevalences, possibly in geographical “pockets” and sub-groups of the population. Risk behaviours exist and unsafe sex is occurring across sub-groups within the population. Untreated STIs particularly within at-risk groups constitute an emergency which need attention and action. STI and HIV are symbiotically-related: they accelerate the transmission of one another." It recommends, among other things, "[p]rotection of human rights and stigma/discrimination: Strengthen stigma and discrimination laws and policies including redressal mechanisms and protection for PLHIV and MARPs (including injecting drug users, men who-have-sex-with men, sex workers). One of my principle objections to this report is the use of the term "men who have sex with men" as constituting one of the "Most At Risk Populations" and the abject failure to identify homosexual men as a separate "Most at Risk Population". I have raised this criticism in previous commentaries as an exercise in obscurantism and pandering to the deep seated homophobia on East Timorese society. Men who have sex with men are not necessarily homosexual or do not identify as homosexuals. Some of the men who have sex with men referred to in this report have wives and families whereas homosexual men do not. Men who have sex with men do not engage in as much homosexual activity as homosexual men and therefore constitute a "less-at-risk" population than homosexual men. The failure to distinguish these two groups in policies and education programs is a fundamental failure of the report and of the government's public health policy on HIV/AIDS. Those men who have sex with men who have wives need different counselling and education than men who just have sex with other men. Wives need to be educated about the risk of their husbands engaging in high-risk unprotected sex with other men (whether their sexual partners be "men who have sex with men who are not homosexuals" or homosexuals) and those women obviously face much higher risks of infection from their husbands who have unprotected sex with other men. As for the recommendation regarding protection of human rights and stigma/discrimination and the strengthening of stigma and discrimination laws and policies including redressal mechanisms and protection for PLHIV and MARPs (including injecting drug users, men who-have-sex-with men, sex workers); this is pathetically short on detail and fails to realise that there are no existing discrimination laws and policies or protections for PLHIV or "MARPS"; in particular, homosexual men and women. There are no laws protecting PLHIV or homosexuals from discrimination or vilification. There are no "redressal" mechanisms. Furthermore,there is no discussion in the report at all of homophobia and how homophobia contributes to the transmission of HIV/AIDS or how public policy and laws should resolve the social problem of homophobia. This is a critical failure in the report and a reprehensible omission by the researchers. - See more at: http://www.easttimorlawandjusticebulletin.com/2013/11/timor-leste-in-danger-of-hvinglow-level.html#sthash.De8G6nEm.dpuf

Moçambique: As autárquicas foram controversas

Estas eleições, embora ainda não tenham sido publicados e homologados os resultados definitivos, pode-se dizer, já, que ainda não foram as desejadas. Independentemente do mérito de vitórias do partido Frelimo em muitas autarquias nas eleições de 20 de Novembro, está claro que eleições livres, transparentes e justas ainda continua a ser um desejo por atingir pelos Moçambicanos que gostariam de regular os poderes por via das suas opções de voto, isto é por via pacífica. Mais uma vez assistimos a eleições controversas em que um conjunto de factores voltaram a impedir os cidadãos de serenamente decidirem com equilíbrio entre as diferentes candidaturas e tendências que se submeteram a sufrágio. Em todo o País não houve condicções iguais para to dos se pronunciarem livremente. Aqueles que acreditaram que era possível escolher livremente quem os irá dirigir, neste caso ao nível municipal, acabaram tendo que dar uma parte de razão à Renamo que sempre disse não haver condicções para haver eleições livres, justas e democráticas em Moçambique, nas condicções actuais. Estas eleições voltaram a dar argumentos a quem insiste em perguntar até que ponto o partido Frelimo está preparado para que em Moçambique haja de facto eleições livres e justas. Suscitaram que se pergunte até que ponto a Frelimo e os seus candidatos estão preparados para que haja em Moçambique eleições transparentes e democráticas, dado que até se tentou na Beira assassinar Daviz Simango, apesar da Policia ter conseguido abortar o comício de encerramento de campanha do MDM. Até que ponto a Frelimo está preparada a ir a eleições e ganhar sem precisar da Polícia a violentar os cidadãos e a fazer sangue? Sem precisarem dos recursos do Estado; sem precisarem de órgãos eleitorais viciados a seu favor; sem precisarem de tribunais viciosos, a Frelimo estará preparada a submeter- se à decisão dos eleitores? Não faz sentido que numa eleição para se contar votos seja necessário primeiro prender cidadãos da oposição que apenas querem ver tudo a correr sem falcatruas. Mas porque será que tudo se passa invariavelmente dessa maneira em eleições? Nestas eleições mais uma vez constatou- se que os únicos a serem detidos pela Policia foram os da oposição. Ainda durante a campanha eleitoral vimos a Policia, inclusive com recurso a blindados e FIR, a abrir caminho às comitivas eleitorais do partido Frelimo e a dificultar a circulação e até a impedir e a barrar a passagem das comitivas eleitorais da oposição. Isso aconteceu em todo o país! O uso abusivo de meios do Estado não foi devidamente tratado pela Procuradoria da República aos mais variados níveis. Não nos surpreenderemos se a ouvirmos um dia destes a alegar que não agiu porque a Policia não lhe fez chegar as queixas, sabendo-se de antemão como agiu a Policia em todo este processo. A própria CNE na pessoa do seu presidente sheik Abdul Carimo deu uma conferência de Imprensa a dizer que não iria tolerar o uso dos meios do Estado. Mas a Frelimo desafiou-o e à CNE. Usou e abusou de meios do Estado e está-se a rir. Mostrou que o presidente da CNE não tem poder absolutamente nenhum. Provou que ele não passa de um “palhaço”. E ele até aqui ficou-se. Calou-se bem caladinho, sem tugir nem mugir, sem sequer murmurar. Nem mesmo quando a Policia assassinou quem venceu por estar a celebrar a vitória o presidente da CNE soube ter uma palavra. Acabou, com o silêncio, por ser cúmplice desse monstruoso crime contra a vida de Jaime Paulo Camilo, o músico natural de Nampula, que usava o nome artístico de Max-Love e encantava Quelimane. O Sheik Abdul Carimo demonstrou-nos que toda a manipulação e vigarice do processo de escolha do representante da Sociedade Civil para o cargo de presidente da CNE tinha o objectivo de se servirem dele para enganarem mais uma vez os Moçambicanos. E ele deixou-se levar até ao ponto de provarem que ele não tem poder nenhum. Comportou-se como um vassalo, até agora e está a ser ridicularizado em praça pública. Estas eleições acabaram por demonstrar que a Renamo tem uma certa razão quando colocava os argumentos que a levaram a não alinhar neste processo eleitoral. Disse que não havia condicções para realizar eleições nos moldes em que o partido Frelimo quer que se continuem a realizar eleições. Alega a Renano que os órgãos eleitorais estão todos manipulados e isso veio a provar-se. De facto o aparelho eleitoral demonstrou até agora que se presta a vícios de todo o tipo, desde manipular para alterar o conjunto das vontades dos eleitores expresso nas urnas, até simular a inexistência de actas e editais de apuramento parcial por forma a servir o propósito do partido no poder a nível central. Ficou demonstrado, no entanto, que com a actual composição da CNE ou outra qualquer, até mesmo se a tal paridade que a Renano reivindica for instituída, continuaremos a ter eleições viciosas. O problema todo está de facto na Policia, no Governo e num conjunto de senhores da Frelimo que querem à força impedir os Moçambicanos de serem os verdadeiros detentores do Poder em Moçambique. No dia das eleições a policia deveria estar toda recolhida nos quartéis e a tratar de casos que nada tenham a ver com eleições, mas anda a ameaçar e espancar pessoas que apenas querem saber dos resultados através dos editais que a lei obriga que sejam afixados às portas das respectivas assembleias de voto precisamente para esse efeito. A pergunta que subsiste e subsistirá enquanto a Policia continuar a intervir nos processos eleitorais como se de uma guerra se trate é: Por que razão a Policia tem de ser o principal protagonista das eleições? Porque é que os órgãos eleitorais continuam a ser protagonistas de falcatruas como denuncia a Liga dos Direitos Humanos através de um vídeo posto na internet, em que membros de uma assembleia de voto de Maputo denunciam um caso de fraude? Porque é que o Governo sendo geralmente formado pelo partido no poder continua a decidir quando e onde a policia deve intervir em matéria eleitoral? A CNE até agora comportou-se. Não vimos os seus membros fazerem as capas dos jornais e abrirem os noticiários das rádios e televisões como em outras eleições. Teve um papel discreto que neste aspecto merece elogios. Mas não serviu para nada. Foi sem dúvida reduzida à condição de bobo da corte. Nem sequer será capaz de vir dizer que não reconhece os resultados e mandar repetir as eleições onde de facto a forma como os órgãos eleitorais locais se comportaram de forma se provou servil ao partido Frelimo e aos interesses do Governo central. Vai como sempre provar que ainda temos uma CNE que só serve para animar o circo. Veremos definitivamente quando lhe couber pronunciar-se em última instância antes do Conselho Constitucional. Veremos se é independente ou se quem lá está representa quem os lá pôs. Nas assembleias de voto viu-se que quem as dirigiu estava ao serviço de interesses que violam o direito dos Moçambicanos elegerem livremente quem querem que os governe. Em Angoche, a pessoa que denunciou e provou que estava em curso uma operação de fraude foi quem foi detida pela Policia. Quem foi apanhado na manobra e com os votos já marcados a favor do candidato do partido Frelimo continua em liberdade protegido pelo Governo do dia. Será que a CNE vai fazer justiça ou vai dar a razão à Renamo e fazer uso da maioria do partido Frelimo no seu seio para desempatar o contencioso que possa chegar ao seu nível de decisão, a favor do partido Frelimo? Aqui, sim, a Renano conseguirá provar a pertinência das suas exigências. Mas antes de falarmos daquilo que a CNE irá decidir sobre Angoche, onde votos pré-votados estavam para ser usados para viciar os resultados a favor do partido Frelimo e certamente não era um caso isolado, devemos também perguntar que sinais querem dar as instituições de justiça? Querem dizer aos Moçambicanos que para haver realmente justiça em Moçambique tem de ser pelas próprias mãos? Está a querer dizer-nos que enquanto estiver no poder o partido Frelimo podem cometer todo o tipo de ilegalidades que não há problemas para quem as pratique? Querem que alguém um dia vire a panela e nos queime a todos com a água a ferver? Um partido que se diz cinquentenário pode continuar a ser respeitado enquanto todos estamos a ver que se alimenta de sangue em momentos eleitorais? Valeu nestas eleições, apesar de tudo, que nos tenham permitido concluir que quem está a afundar Moçambique é o partido Frelimo, pois felizmente a Renamo assumiu a justa posição de se abster e de não prejudicar os sufrágios. Permitiu-se com isso que ficasse agora claro quem são os que realmente fomentam a violência em Moçambique. Viu-se nestas eleições que ainda que a Renamo tenha estado ausente mesmo assim houve sangue e esse sangue está agora claro que é da exclusiva responsabilidade de quem está no Governo e viola a lei sem que nem mesmo os órgãos competentes possam agir para que a lei seja respeitada. O que fazer de aqui em diante para que o País se torne um Estado viável? Alguém já se terá dado ao trabalho de entender que se isto acaba em violência generalizada não sobrará nada para ninguém? Alguém já se deu ao trabalho de perceber que nestes últimos meses já se fez mais para destruir a reputação e confiança em Moçambique do que nos vinte anos de Paz? (Canalmoz/Canal de Moçambique) CANALMOZ – 29.11.2013

José Eduardo dos Santos: problema oncológico?

O governo angolano negou hoje que o Presidente José Eduardo dos Santos esteja a ser tratado ao cancro em Barcelona. "Não tenho nada a declarar sobre esse assunto porque isso não é verdade", disse aos jornalistas o ministro dos Negócios Estrangeiros angolano, Georges Chikoti, citado pela Reuters, reagindo à notícia divulgada pela RTP de que Eduardo dos Santos estaria a receber tratamento ao cancro numa unidade oncológica em Barcelona. Eduardo dos Santos, 71 anos, está no poder em Angola desde 1979. Segundo a estação pública portuguesa, o Presidente angolano deslocou-se a Barcelona para uma consulta numa unidade oncológica na região para se submeter a uma cirurgia, sem citar fontes. Recentemente, Eduardo dos Santos afirmou estar há "muito tempo" no poder em Angola e que "daqui para a frente as coisas vão mudar". Na entrevista, realizada em finais de Outubro, a uma questão sobre se não acha que está há muito tempo no poder, o Presidente angolano reconheceu que sim e, num registo invulgar, foi mais longe que a pergunta e disse que há "demasiado" tempo. "Acho que é muito tempo. Até demasiado. Mas também temos que ver as razões conjunturais que nos levaram a essa situação", afirmou. Económico

Bissau: Prepara-se o recenseamento eleitoral

Bissau, 28 Nov. 13 (ANG) - O Seminário de formação destinado aos 203 agentes seleccionados e que vão integrar as brigadas de recenseamento eleitoral para cobrir, apenas o sector autónomo de Bissau, terá início sexta-feira, 29. Em declarações a ANG, o Director Geral do Gabinete Técnico de Apoio ao Processo Eleitoral (GTAPE informou que a segunda parte de nomes de agentes recenseadores será afixada em breve, seguido de idêntica acção de formação para depois serem distribuídos as regiões. Cristiano Nabitan não precisou o número total dos agentes que irão proceder ao trabalho de recenseamento, mais avançou que tal dependerá dos materiais que a GTAPE terá a sua disposição. Por exemplo explicou que contam neste momento com, apenas, 119 Kits de materiais de recenseamento, o que pressupõe a necessidade de 238 agentes, ou seja, o dobro do numero do material disponível. “Estes materiais foram doados pela Republica do Timor-Leste que promete trazer mais ainda. O Governo nigeriano prometeu doar a outra parte e, se isso acontecer, a Guiné-Bissau irá precisar de mais pessoas para este trabalho”, referiu Director geral do GTAPE. Informou que Timor-Leste ofereceu ainda computadores portáteis, câmaras fotográficas, pen-drive, geradores portáteis, e lâmpadas, para além de 21 técnicos que irão dar assistência aos nacionais.

Bissau: "Os alegres inoperantes"

Decididamente a ONU e o seu funcionário de serviço, Ramos Horta, andam a brincar com isto tudo. Não apanharam o pé da situação e decidiram que a realidade não é aquilo que os guineenses estão a viver, mas sim as ideias estapafúrdias que têm nas suas cabeças, como a de dizer que a violência ocorre sobretudo na capital guineense (como ele, Ramos Horta, não se aventura no interior, fica-se pelos sítios onde se comem belas gambas, também a não vê, claro!) e que os incidentes não são provocados apenas por militares. Aliás, já ontem Daba Na Walna vinha a dizer isso, com a apresentação dos tais quatro homens que segundo ele se faziam passar por militares, usando armamento desviado há muito tempo. Claro que se não percebe, se há assim tantas armas em mãos de civis, porque raio de razão não as usam, afastando os golpistas de vez!. Mas voltando aos “alegres inoperantes”, isto é, aos anteriormente referidos funcionários da ONU… Fartos de desbaratar os rios de dinheiro que dizem estar a dar à Guiné-Bissau, mas que só serve para pagar a centena de “especialistas” que passam os dias acantonados nos ares-condicionados da sua sede em Bissau a preparar os respectivos fins-de-semana, decidiram agora reforçar o pecúlio da ECOMIB, organização militar que ninguém sabe para que serve. Há já quase dois anos no país, esta missão militar nada fez que se visse e ouvisse. Por ela passaram crimes, violência, barbaridades. E ela não tugiu nem mugiu. Só quando a população decidiu denunciar o “trabalho” dos nigerianos no rapto de crianças é que foram a correr proteger a embaixada. Fora disto, NADA! Pois é a estes mesmos que a ONU vai reforçar a capacidade de intervenção(?), possivelmente para as chefias militares nigerianas continuarem a pouca vergonha da prostituição no Hotel Azalai ou ao dolce fare niente a que se entregam abnegada e diariamente. Enquanto isso, o presidente senegalês Malick Sarr, descobriu e lançou um novo candidato presidencial CEDEAO às “próximas” eleições: o seu funcionário dos petróleos, Júlio Baldé. Afanosamente, Ramos Horta já está a preparar para breve um convívio de gambas com este novel candidato e o seu amigo do coração, o impoluto Kumba Ialá Já não há paciência para aturar estes incompetentes que nos mandam para aqui! E logo este prémio Nobel dos “Passageiros Frequentes”… Publicada por António Aly Silva , a partir do blog Pasmalu

Mali: Detido líder do golpe do ano passado

O general Amadou Sanogo, cabecilha do golpe militar de março de 2012 no Mali, foi acusado em Bamako de “assassínios” e preso, disse fonte judicial à agência France Presse. Sanogo “foi acusado de assassínios, cumplicidade em assassínios e colocado sob custódia”, declarou a mesma fonte, próxima do juiz de instrução Yaya Karembe que convocou o general e o ouviu antes de o acusar. Hoje de manhã, várias dezenas de militares malianos deslocaram-se a casa de Sanogo, no centro de Bamako, para o conduzir perante o juiz. O general não tinha respondido a uma convocatória para prestar declarações ao juiz Yaya Karambé no passado dia 19. Segundo uma fonte no Ministério da Justiça, a ordem para deter Sanogo foi dada “ao mais alto nível” do Estado. Foi também realizada uma busca à casa de Sanogo, de acordo com uma fonte judicial, que precisou que se procuravam “elementos para fazer avançar a investigação sobre os factos graves que são atribuídos ao general”. Nos meses que se seguiram ao golpe de Estado de 22 de Março de 2012, o quartel-general de Sanogo e dos seus homens, situado em Kati, perto de Bamako, terá sido palco de inúmeros abusos contra militares considerados como fiéis do presidente derrubado, Amadou Toumani Touré. Pressionados pela comunidade internacional, em particular a Comunidade Económica dos Estados da África Ocidental, os militares golpistas aceitaram a 06 de Abril de 2012 um acordo para o regresso à ordem constitucional e em agosto foi eleito um novo presidente do Mali, Ibrahim Bubakar Keita.

28.11.13

Angola proíbe a religião muçulmana

As autoridades de Angola proibiram o Islã e começaram a fechar mesquitas, em um esforço para frear a propagação do “extremismo” muçulmano, segundo meios de comunicação africanos. De acordo com a ministra angolana da Cultura, Rosa Cruz e Silva, “o processo de legalização do Islã não foi aprovado pelo Ministério da Justiça e Direitos Humanos de Angola, e portanto as mesquitas em todo o país serão fechadas e demolidas”. Além disso, os angolanos decidiram proibir dezenas de outras religiões e seitas que, segundo o governo, atentam contra a cultura da nação, cuja religião majoritária é o Cristianismo (praticado por 95% da população). Por sua vez, o jornal angolano O País informa que cerca de 60 mesquitas já foram fechadas, enquanto os representantes da comunidade muçulmana denunciam que estas medidas foram tomadas sem consulta e que eles não se constituem em uma pequena seita. Recentemente foram destruídas mesquitas construídas de forma ilegal, o que levou a protestos por parte da comunidade islâmica angolana, na sua maioria provenientes do Líbano e de países da África Ocidental. Não obstante, as autoridades de Luanda resumiram que “os muçulmanos radicais não são bem-vindos no país e que o governo angolano não está preparado para legalizar a presença de mesquitas em Angola”, nação que se converteu na primeira do mundo a proibir o Islã. Com informações de Russia Today

Bissau: Apenas uma opinião

1 - A ONU não é uma instituição neutral. É dirigida pelos EUA. O actual secretário-geral Ban Ki-moon foi lá colocado por eles (e os seus apoiantes ocidentais e orientais. 2 - Os EUA estão interessados na actual equipa governativa político-militar por razões de geo-política que querem cimentar antes de fazer eleições, que podem ser ganhas pelo sector do PAIGC que não lhe é afecto. 3 - A intervenção exterior é condenável, tanto na Guiné-Bissau, como em Portugal, em Cuba, Coreia do Norte, Irão, Líbia ou...nos próprios EUA. Não resolve as contradições internas. 4 - O problema da GB é fácil de resolver. A ONU - ou outras entidades - arranjam um Orçamento de uns milhões de dólares ou euros e mandam, para casa, a velhada militar, com uma pensão que lhe permita viver, aos antigos combatentes - os reais -, um fim de vida descansado. S.L.

RDC: Kabila visita o Leste

President Joseph Kabila is touring eastern areas of the Democratic Republic of Congo which were held by rebels until earlier this month. He has spent the past week driving from Kisangani in a 70-car convoy. His is due to end his 930km- (575 mile) journey later in Rutshuru, which was held by the M23 rebels for more than a year. On the way, he has made several speeches, warning the region's other militias to disarm or be hunted down. This is Mr Kabila's first visit to eastern DR Congo for two years. The mineral-rich area has been wracked by conflict for the past two decades but the defeat of the M23 has raised some hopes of a more stable future. However the BBC's Maud Julien says that many Rutshuru residents are afraid that the peace will not last. She says that the road in the area is in bad shape and many other armed groups remain active. The M23 rebels said they were ending their insurgency earlier this month, hours after the DR Congo government claimed victory after recapturing all the areas they had controlled. A robust new UN intervention brigade used helicopters to support the Congolese army against the rebel forces. Both Rwanda and Uganda denied repeated accusations that they supported the M23. BBC

Bissau: A frustração de Ramos-Horta

27 de Novembro de 2013 - O Representante Especial do Secretário-Geral das Nações Unidas na Guiné-Bissau responsabilizou o governo de transição deste país da África Ocidental pela realização das eleições gerais a 16 de Março de 2014, ao falar no Conselho de Segurança, em Nova Iorque. José Ramos-Horta, discursando na ter
ça-feira, classificou de “frustrante e lento” o processo para a restauração da ordem constitucional na Guiné-Bissau - depois do golpe de Estado militar de 2012 -, que tem passado por sucessivos adiamentos, num clima generalizado de medo. “A chave para um rápido retorno da ordem constitucional deverá ser a garantia da realização de eleições credíveis e pacíficas a 16 de Março de 2014”, disse o Nobel da Paz ao apresentar o relatório do secretário-geral, Ban Ki-moon, sobre esta material e, ainda, um outro acerca das actividades do Gabinete Integrado das Nações Unidas para a Consolidação da Paz na Guiné-Bissau (UNIOGBIS). O RESG concluiu comunicando que o primeiro-ministro do governo de transição, Rui Duarte de Barros, criou uma comissão de coordenação do processo eleitoral. Uma missão timorense de aconselhamento técnico para apoio ao processo eleitoral chegou à capital guineense a 05 de Maio, devendo permanecer no país por quarto meses, no quadro de uma contribuição solidária do governo em Díli de USD 6M destinada ao recenseamento, bem como à aquisição do correspondente equipamento técnico. Por outro lado, o embaixador brasileiro António de Aguiar Patriota, president da Comissão para a Configuração da Paz na Guiné-Bissau, chamou a atenção para os recentes episódios de violência e intimidação que tipificam a frágil situação securitária no país. Tendo em conta que as eleições por si só – embora sejam um pré-requisito para uma estabilidade sustentável – não poderão dar uma resposta abrangente aos numerosos desafios, aquela comissão estará em posição de desempenhar um papel central na mobilização de apoios internacionais para as reformas a encetar pela nova liderança política nacional saída do plebiscito, com ênfase para a capacitação institucional e desenvolvimento económico. Pela Comunidade dos Países de Língua Oficial Portuguesa (CPLP), o diplomata moçambicano António Gumende lamentou o sofrimento dos guineenses devido aos protelamentos do sufrágio e deixou uma palavra de estímulo às autoridades de transição no sentido de respeitarem compromissos assumidos visando a transparência na consulta popular, apoiada pela Comunidade Económica dos Estados da África Ocidental (CEDEAO), União Europeia (UE), Timor-Leste e Nigéria. Por ultimo, o marfinense Youssoufou Bamba, pela CEDEAO, reconheceu sinais positivos, embora ainda haja muito por fazer – disse - ate ao pleno restabelecimento da segurança na Guiné-Bissau e, daí, a extensão da missão ECOMIB até 16 de Maio de 2014. A organização contribui com USD 19M para as eleições e enviará duas unidades policiais de reforço. Fonte : UNNews

Quénia: Desenvolvimento do caminho-de-ferro

Kenya has formally launched a new, Chinese-financed railway which should extend across East Africa to reach South Sudan, DR Congo and Burundi. The first section will link the Kenyan port of Mombasa to the capital, Nairobi, reducing the journey time from 15 hours to about four. It is said to be the country's biggest infrastructure project since independence 50 years ago. The cost of the railway will be $5.2bn (£3.2bn) - mostly funded by China. Some Kenyans have complained that the contract was given to the Chinese state-owned China Road and Bridge Corporation (CRBC) without going to tender. 'Historic milestone' Continue reading the main story “ Kenyan President Uhuru Kenyatta and his Chinese counterpart Xi Jinping agreed the deal in August in Beijing. It is also hoped that the railway will reduce congestion in Mombasa, one of Africa's busiest ports. The current railway network dates back to the colonial era. After the Nairobi section is finished, with completion due in 2017, it will be extended through Uganda, with branch lines west to Kisangani in the Democratic Republic of Congo, south through Rwanda to Burundi and north to South Sudan. Passenger trains will travel at a top speed of 120 km/h (75 mph), while freight trains will have a maximum speed of 80 km/h. "What we are doing here today will most definitely transform... not only Kenya but the whole eastern African region," President Kenyatta told crowds at the ceremony, calling it an "historic milestone", the AFP news agency reports. "As a result East Africa will become a competitive investment destination," the agency quoted him as saying. BBC

Moçambique: Mais energia eléctrica

Maputo, 27 Nov (AIM) - Moçambique espera duplicar, até 2026, a sua capacidade de produção de energia eléctrica, para 5000 MW, para melhor responder à demanda doméstica e regional da Comunidade para o Desenvolvimento da Africa Austral (SADC). Segundo o Director Nacional de Energia Eléctrica, Pascoal Bacela, citado hoje pelo Mediafax, a entrada em funcionamento dos vários projectos de geração de energia existentes no país, nomeadamente os hidroeléctricos a partir da Central Norte de Cahora Bassa e o Mpanda Nkuwa, e de carvão e gás natural que são projectados pelos operadores do sector, vão permitir a diversificação das matrizes energéticas nacionais. “As nossas projecções indicam que com a entrada em funcionamento dos projectos em carteira, o país passe a contar, a partir de 2026, com uma capacidade instalada para a produção de 5000 MW de energia, contra os actuais cerca de 2500 MW” disse Bacela, em entrevista à margem de uma Conferência internacional sobre o carvão que hoje termina em Maputo. Segundo Bacela, para a futura capacidade projectada, 60 por cento da energia eléctrica continuará a ser gerada por fontes hidroeléctricas, enquanto que o gás natural será responsável por 25 por cento e o carvão mineral, por 15 por cento da capacidade geradora. Actualmente, Moçambique conta com uma demanda de energia eléctrica que gira em torno de 750 MW nos períodos normais.

Bissau: O agravamento da situação

The Security Council expects to receive a briefing from the Special Representative of the Secretary-General to Guinea-Bissau Jose Ramos Horta on the two reports of the Secretary-General on the restoration of constitutional order (S/2013/680) and on the activities of the UN Integrated Peacebuilding Office in Guinea (UNIOGBIS) (S/2013/681). Also briefing will be Ambassador Antonio de Aguiar Patriota (Brazil) as chair of the Peacebuilding Commission (PBC) country-specific configuration for Guinea-Bissau, as well as possibly representatives of ECOWAS and the Community of Portuguese-Speaking Countries. The briefing will be followed by consultations. It appears that the briefing and consultations would focus largely on preparations for the national elections, which had been scheduled for 24 November, but were postponed on 15 November until 16 March 2014. There is also likely to be some discussion of potential options for strengthening the ECOWAS Mission in Guinea-Bissau (ECOMIB). At press time, it appears Togo, as the penholder on Guinea-Bissau, will pursue a presidential or press statement supporting the reinforcement of ECOMIB with two additional police units (approximately 300 police total) and sending a strong signal to potential spoilers regarding the importance of holding free and credible elections in an environment free of intimidation. At press time, a draft of this statement had yet to be circulated, and adoption would likely not occur before late this week or early next week. (The reinforcement of ECOMIB would be consistent with the May announcement by the ECOWAS Chiefs of Defence Staff to enlarge ECOMIB, which has yet to be done). The Council will be particularly interested in the developments highlighted in the Secretary-General’s quarterly report on the restoration of constitutional order, mandated by resolution 2048 following the 12 April 2012 coup. The latest report is seen by Council members as being a much less positive assessment from Ramos-Horta than any of his previous reports since taking on the role of Special Representative in January 2013. The report, which was published on 19 November, depicts an “increasingly volatile” security situation and a “deteriorated” human rights situation, warning that this threatens the holding of credible elections. Examples are provided of intimidation by security forces of the media and non-governmental organisations over the past three months, as well as instances of beatings and assaults, including of a UNIOGBIS national staff member, and attacks on Nigerians. The report also suggests that social tensions - due to a fragile humanitarian situation and delays in paying government workers - could also undermine holding credible elections. For these reasons, the Secretary-General’s report urges ECOWAS to strengthen ECOMIB, tasked by the sub-regional organization to provide security and carry out security sector reform. The Secretary-General calls for the Council “to consider providing support for a reinforced ECOMIB,” both to ensure security for the electoral process and to assist a future elected government. Council members will seek clarification on the type of support that the Secretary-General seeks, which some members thought could be a reference to a logistical support package for ECOMIB. During tomorrow’s briefing and consultations, Council members will likely express their disappointment that Guinea-Bissau is missing for the second time the deadline that it agreed to with ECOWAS for restoring a democratically elected government. (In June, presidential and legislative elections were scheduled for 24 November, while 31 December was the deadline for the end of the transitional period.) Members may be interested in hearing about preparations to meet the new 16 March deadline for the elections. There appears to be some progress on this front. The Secretary-General’s report confirms that funding to hold the elections, budgeted at $19.3 million, is now secured, apparently removing an excuse used in the past by the transitional authorities to explain the delay in the elections. Furthermore, Timor Leste is providing an electoral support mission to focus on the voter registration process, which is now currently scheduled for 1-22 December. Nonetheless, in spite of this progress, one cause for concern among Council members is that Military Chief of Staff Antonio Indjai has made statements that call into question his commitment to fulfilling the political transition and staying out of politics after an elected government is established. Council members will be interested in discussing with Ramos-Horta how they can provide him with a credible deterrent to military interference in civilian affairs. Along these lines, Council members are expected to seek clarification on ECOMIB’s current activities, both in terms of providing security, as well as its longer term security sector reform efforts. This information, lacking in the latest reports, would be considered critical by members in assessing how to provide further support to ECOMIB. Some Council members may also seek Ramos-Horta’s views on the declining humanitarian situation, and ways the Council can contribute to ameliorating this situation. What's in Blue

Zimbabwe: As pseudo-sanções

The President and his wife run a dairy business. A German firm has been supplying them for four years, even though the couple are under EU sanctions The German firm Wilhelm Guth Ventiltechnik has been supplying components to Robert and Grace Mugabe's dairy in defiance of international sanctions. Its wholly-owned subsidiary, Guth South Africa, has been supplying Gushungo Dairy Estate. Gushungo owns Alpha Omega Dairy, which produces milk and other dairy products. The Mugabes are under European Union ‘restrictive measures’, which forbid European Union companies from doing business with individuals or entities on the list. Guth had not replied to Africa Confidential's request for a clarification by the time we went to press. Nor could the EU explain why no action had been taken. Africa Confidential

27.11.13

Líbia, face ao islamismo

TRIPOLI, Nov 27 (Reuters) - Libya has deported more than 500 African immigrants, state news agency Lana said, sending them to Niger as it tries to tackle an influx of refugees and Islamist militants. Western powers fear Libya has become a safe haven for al Qaeda fighters as its government struggles to rein in militias and former rebels who helped topple Muammar Gaddafi two years ago. Weak border controls and a small army lacking training and equipment have turned Libya into a weapons smuggling route for al Qaeda in sub-Saharan countries and a transit route for Islamist fighters heading to Syria's civil war. People traffickers also use the remote desert borders with Egypt, Sudan, Niger and Chad to smuggle refugees into Libya from where many try to reach Europe by boat. Authorities deported 350 illegal immigrants from Niger and 208 from Chad via its remote al-Tum crossing to Niger, Lana reported late on Tuesday, citing a security official. In total 4,875 illegal immigrants of various nationalities were being held in detention centres, the agency said. Hundreds of illegal migrants have died in the past two months on their way from North Africa to Italy. Many set off in small boats from the Libyan coast which authorities struggle to monitor. (Reporting by Ulf Laessing; Editing by Janet Lawrence)

RCA: Entra em acção o Exército francês

Pas de manifestations spectaculaires de joie, mais plutôt un immense soulagement. Mardi, à Bangui, les habitants ne cachaient pas leur satisfaction de voir les troupes françaises s'engager sous peu pour neutraliser les ex-rebelles qui terrorisent la population. "La France a pris la mesure de la situation chaotique que connaît la République centrafricaine et elle a décidé d'intervenir en appui à la force africaine. Je crois plutôt qu'elle doit intervenir en premier et débarrasser le pays de cette horde de criminels qui nous ont emmenés bien loin", juge Prince Saturnin Goulam, informaticien. Comme beaucoup d'autres habitants de la capitale interrogés par l'AFP, il se dit "soulagé par l'intervention imminente de soldats envoyés par la France, ancienne puissance coloniale. Depuis des semaines, l'interrogation revenait régulièrement dans les conversations en ville : pourquoi les forces françaises, qui ont déjà un contingent de 400 hommes stationnés à l'aéroport, n'intervenaient-elles pas pour mettre fin aux exactions de combattants issus de l'ex-rébellion Séléka ? "L'envoi de troupes supplémentaires françaises ne peut que soulager ce peuple qui a déjà souffert", commente Jude Zossé, directeur du journal L'hirondelle. Car dans ce pays à l'histoire troublée - qui a vécu déjà plusieurs interventions militaires françaises -, l'argument de la diplomatie française selon lequel il fallait au préalable un mandat de l'ONU laissait perplexe nombre d'habitants. "Il y a longtemps que la France aurait dû intervenir pour stopper cette dérive. Le pays n'a jamais connu une si longue période d'instabilité et de violences. Le peuple a bu le calice jusqu'à la lie et en était à se demander d'où allait venir son salut", assure Martin Baba, ancien président du Conseil économique et social (CES). Lire l'article sur Jeuneafrique.com

Pirataria no Golfo da Guiné

Africa’s west coast, particularly the Gulf of Guinea, has become the continent’s hotspot for piracy with warnings the rate of attacks could rise to two a day next year. While the current preferred targets of pirates in this area are oil and gas assets, criminal gangs at sea are also responsible for drug trafficking, arms smuggling, dumping of toxic waste, illegal bunkering and illegal fishing. James Fisher, chief executive of Paramount Naval Systems, said on the side of the Maritime Coastal Security conference currently underway in Cape Town that the move by pirates to the west coast was because stronger counter-piracy measures were now operational off the continent’s east coast. “Criminal organisations now see coastal assets in west Africa as soft targets. The result is that the waters of the Gulf of Guinea are now the most dangerous in Africa for merchant shipping. “West African nations are rapidly developing oil and gas infrastructure to capitalise on existing assets and exploit new offshore discoveries. These assets can serve as the driver of long-term economic development in these countries, boosting industry, creating thousands of jobs and bringing billions of dollars of foreign investment. “Unless tackled quickly and effectively piracy could do serious damage to West Africa’s oil and gas industry, slowing development for years to come. “The solution is not to seek international help to solve these African problems, but to build African solutions to them. The development of a strong African shipbuilding industry means it is possible for African nations to find African solutions to the threat of piracy,” he said. Fisher maintains the company, now part of the largest private owned defence industry conglomerate in South Africa, is responding to demands from sovereign governments across Africa by developing a fleet of multi-role patrol vessels. “The speed and flexibility of Paramount’s ships mean they are well-suited for a range of operations in coastal waters to prevent illegal activity and protect both assets and territory. “To protect national resources it is essential to invest in flexible and modern maritime assets to patrol and effectively counter piracy. We see our vessels allowing African navies to respond to terrorist and criminal threats with the necessary resources to always be a step ahead,” he said. DefenseWeb

RCA: A catástrofe

A POLITICAL crisis in the Central African Republic is on the verge of spiralling out of control. The country of 4.6m people has been in turmoil ever since a rebel group known as Séléka ousted President François Bozizé in March. Human-rights groups say abuses have multiplied. UN and American officials have gone so far as to warn that the conflict is at risk of leading to “genocide”. Séléka forces from the predominantly Muslim north are hoarding food and prey on civilians. Michel Djotodia, whom they made president, seems to have turned against them and told the rebel forces to disband but they seem to have refused to do so.
Hostility to Séléka has led to the formation of self-defence groups. They are targeting the movement and, in some cases, Muslim civilians, provoking tit-for-tat reprisals. The number of refugees may now exceed 400,000. Ban Ki-moon, the UN’s head, says he is preparing plans to send up to 9,000 peacekeepers to the country, pending a Security Council resolution. But that could take months, whereas humanitarian organisations are calling for immediate action. Should there be a “precipitous deterioration in the situation”, says Mr Ban, the UN might respond on an emergency basis, drawing on troops from neighbouring peacekeeping missions. The UN has eight of them in Africa, including Congo, Darfur, Mali and South Sudan. The American government is loth to lobby for a UN peacekeeping mission, arguing that an African Union force that is already supposed to be holding the ring should “provide the immediate security that CAR needs.” On the ground, however, it seems clear that regional missions are not robust enough to protect the many thousands of civilians already in distress. The Economic Community of Central African States, a regional club of six that includes the CAR, deployed 2,500 peacekeepers earlier this year—to little effect. The African Union is due to take charge of the operation next month, and to boost its size to 3,600, but has experienced financial and logistical problems. The Economist

República Centro-Africana: O caos

The Central African Republic (CAR) is descending into "complete chaos", the UN deputy secretary general has warned, calling for urgent action. Jan Eliasson urged the Security Council to strengthen the African Union-led force in the country, and to turn it into a UN peacekeeping operation. The CAR has been in turmoil since rebels seized power in March, with warnings of a possible genocide. France has said it would contribute about 1,000 troops to the force. Senior UN and French officials have warned that a cycle of violence between the Muslim minority, now in power, and the Christian majority could become a genocide. It is not known how many people have been killed in the conflict this year because it is too dangerous to access the rural areas where most killings occur, a UN spokeswoman told the BBC. However, she said that in the Bossangoa area alone, one of the worst-hit areas about 300km (185 miles) north of the capital, Bangui, several hundred people had been killed in the first two weeks of September. Some 460,000 people - 10% of the population of 4.6 million - have fled their homes, while more than a million need food aid, according to the United Nations. Tens of thousands have sought refuge at the Catholic mission in Bossangoa. The priest in charge, Frederic Tonfio, told the BBC: "The tension here is palpable. People are absolutely terrified." 'Regional threat' Mr Eliasson said there had been an surge in sexual violence, torture, summary executions and sectarian violence. "The CAR is becoming a breeding ground for extremists and armed groups in a region that is already suffering from conflict and instability," he said. "If this situation is left to fester, it may develop into a religious and ethnic conflict with long-standing consequences, even a civil war that could spread into neighbouring countries." Some of CAR's neighbours such as South Sudan, the Sudanese region of Darfur, Chad and the Democratic Republic of Congo are trying to emerge from years of conflict and remain extremely unstable. BBC

França intervém na República Centro-Africana

By RFI The French defence minister said on Tuesday that Paris would deploy “about a thousand” soldiers to the Central African Republic for six months, to support an African peacekeeping force. Jean-Yves Le Drian told French radio station Europe 1 that French troops would act only "in support" of an African stabilisation force in the Central African Republic and "for a short period, in the range of about six months." France’s ambassador to the United Nations said the French would provide a “bridging force” to restore some order and protect civilians but that the African stabilisation force would quickly take over that job. Central African Republic Prime Minister Nicolas Tiangaye said after talks in Paris on Monday that Foreign Minister Laurent Fabius had talked of adding 800 troops to the 410 French soldiers already based in the capital, Bangui. Tiangaye said "serious war crimes" are being committed in his country, where rebels forced President Francois Bozize to flee in March. A transitional government has since lost control of the country of 4.5 million people. France on Monday proposed a UN Security Council resolution authorising international troops to use force to end mounting chaos in the country. The resolution, which would also impose an arms embargo on the strife-torn country, could be passed by the 15-member Security Council next week.

A próstata de José Eduardo dos Santos

Por Maka Angola - 26 de Novembro, 2013 Nos últimos meses, a saúde do presidente da República tem sido abalada por enfermidades que o levam a deslocar-se, com frequência, para o Reino da Espanha, para tratamentos médicos. Nos primeiros dias do mês de Novembro, o presidente, segundo fontes que falaram ao Maka Angola em condição de anonimato, caiu no Palácio Presidencial e teve de ser evacuado, a 9 de Novembro para Barcelona. Maka Angola soube, sem no entanto ter confirmação oficial, que o presidente teve uma crise prostática renal e deverá permanecer, pelo menos, 30 dias sob observação. Esta foi a razão pela qual o Chefe de Estado faltou, pela primeira vez, à celebração do dia da Independência a 11 de Novembro. Segundo uma fonte médica contactada pelo Maka Angola, uma crise prostática renal pode ser descrita como a obstrução da drenagem da urina devido ao alargamento da próstata e a paragem de produção da urina, com necessidade de diálise no caso de insuficiência renal. “Em caso de insuficiência renal, uma situação muito grave e frequentemente fatal, os pacientes têm de fazer hemodiálise regular. A falência de um ou dos dois rins pode ser consequência de varias situações clínicas, incluindo a maior parte dos tratamentos de quimioterapia”, disse o médico, que preferiu não ser identificado. Especulações frequentes dão conta do presidente sofrer, há vários anos, de um cancro na próstata.

26.11.13

Bissau: Bem prega Ban Ki-moon...

O secretário-geral da ONU lá vai redigindo os seus relatórios periódicos, como compete a qualquer funcionário; mas a verdade é que a resolução dos problemas guineenses não depende simplesmente de palavras, requerendo antes acções muito mais efectivas. Jorge Heitor Num relatório dirigido esta semana ao Conselho de Segurança, o secretário-geral Ban Ki-moon afirma que o trabalho das Nações Unidas na Guiné-Bissau continua a ser prejudicado pelos atrasos na conclusão do processo de transição. E que sem um interlocutor eleito algumas das principais iniciativas da Organização tiveram de ficar suspensas. Mas o trabalho da ONU não deveria ser precisamente acabar com os atrasos na conclusão do processo, atrasos que só poderão interessar às Forças Armadas de António Indjai e ao seu amigo e aliado Kumba Ialá? Para além disso, Ban Ki-moon diz que as restrições de recursos motivadas pela suspensão da assistência dos doadores tradicionais estão a prejudicar a capacidade das Nações Unidas para fornecer apoio adequado para reformas institucionais a longo prazo. Por tudo o que expõe, ele acha imperativo que instâncias nacionais, regionais e internacionais continuem a trabalhar no sentido de se completar o processo de transição que só foi necessário porque as Forças Armadas amigas do chefe balanta Kumba Ialá interrompera o ano passado um processo eleitoral que iria dar à Guiné-Bissau um interlocutor devidamente escolhido pela população. Fala agora Ban Ki-moon de uma realização atempada, a tempo e horas, logo que possível, de eleições presidenciais "credíveis", sem se manifestar aparentemente muito certo de que elas poderão concretizar-se a partir de Março de 2014, conforme anunciou o Presidente de transição, Manuel Serifo Nhamadjo. É essencial, prossegue ele, que todos se comprometam a alcançar um progresso tangível na reforma do sector da justiça e na modernização das forças de Defesa e Segurança, de acordo com padrões internacionais, promovendo um genuíno diálogo nacional e o respeito pelos direitos humanos. Há bem mais de cinco anos que todos nós sabemos tudo isso muito bem; só que a generalidade das instâncias guineenses, a começar pelos militares e por alguns políticos, não se tem manifestado minimamente interessado no primado do Direito nem no combate efectivo ao tráfico de drogas e de armamento. As Nações Unidas alegam que continuam empenhadas em contribuir para a criação de um ambiente propício a eleições credíveis e a evitar qualquer regresso à conflituosidade. Mas parece bem que só se elas tivessem no terreno uma força internacional de alguns milhares de homens é que poderiam impedir a actividade impune do crime organizado que faz com que a Guiné-Bissau não leve por diante quaisquer eleições credíveis. Ingenuamente, Ban Ki-moon pede às autoridades de transição, representadas pelo Presidente ocasional Manuel Serifo Nhamadjo, que "continue a colaborar com as Nações Unidas" de modo a garantir um ambiente pré-eleitoral decente e um resultado credível e pacífico das eleições já por mais de uma vez adiadas. E ao fazê-lo o secretário-geral da ONU esquece que essas autoridades não o são verdadeiramente, pois que quem verdadeiramente tem vindo a mandar nos guineenses durante estes últimos dois anos e meio é o general António Indjai, que fez com que lhe dessem a chefia do Estado-Maior General das Forças Armadas e que nele permanece entrincheirado, desde os tempos do Presidente Malan Bacai Sanhá. O ingénuo e pouco operativo Ban Ki-moon reitera uma vez mais, no relatório agora em discussão no Conselho de Segurança, o seu apelo a todas as partes guineenses para que adoptem uma nova cultura política que acabe com o cíclico conflito político-militar e coloque o interesse nacional acima dos interesses individuais. Que foi coisa que Kumba Ialá e Manuel Serifo Nhamadjo não souberam fazer, quando não aceitaram o resultado da primeira mão das presidenciais do ano passado, que deu claramente vantagem ao líder do PAIGC, Carlos Gomes Júnior. Seráfico, Ban Ki-moon fala da necessidade de se construírem consensos e de se garantir a reconstrução do Estado, esquecendo que estas coisas não se conseguem apenas com belas palavras nem sequer com a longa prática diplomática do seu representante pessoal no país, o antigo Presidente timorense José Ramos-Horta. Os recentes incidentes de segurança, que o secretário-geral aliás não deixa de referir, sublinharam uma vez mais a necessidade crítica de se acabar com a cultura de impunidade que vem de muito longe, de há décadas; e que fez com que nunca fossem presentes a tribunal os responsáveis por numerosos assassínios. "O povo da Guiné-Bissau deve sentir que será feita justiça", observa o secretário-geral, referindo-se a ataques criminosos ocorridos nestes últimos dois meses, como aquele de que foi alvo o ministro Orlando Viegas. Mas, na verdade, aquilo de que os guineenses necessitam é de uma Justiça muito mais ampla, não só referente a dois ou três episódios, mas sim a muitos mais, verificados desde os tempos da luta armada, desde os tempos do assassínio de Amílcar Cabral. Enquanto isso não for feito, enquanto não houver uma Comissão de Verdade e Reconciliação que passe a pente fino muitos episódios obscuros dos últimos 41 anos, de modo a tentar esclarecê-los de uma vez por todas, as belas palavras de Ban Ki-moon e de José Ramos-Horta serão apenas isso: palavras, palavras, palavras...

23.11.13

Fazer turismo na África Austral

O East3Route, um movimento turístico-cultural que envolve a província sul-africana de KwaZulu- Natal (KZN), Moçambique e o Reino da Suazilândia, existente desde 2011, está a atrair mais países, sendo as Ilhas Seychelles o quarto e mais novo membro da organização. Angola está ainda a avaliar a possibilidade de se juntar ao grupo. A adesão das Ilhas Seychelles foi formalmente anunciada em Outubro passado pela directora executiva do turismo do arquipélago rematado ao largo do Oceano Índico, Sherin Naiken, no decurso da III expedição do East3Route, que este ano começou no dia 13 em Maputo e terminou a 19, em Richard´s Bay (KZN), depois de passar pelo Reino da Suazilândia. Mesmo antes de ser membro de pleno direito, a directora executiva do turismo das Seychelles acompanhou a III expedição do East3Route do início ao fim. Convidado pelo principal dinamizador desta iniciativa, o ministro de Desenvolvimento Económico e Turismo da região sul--africana de KZN, Michael Mabuyakhulo, o cônsul-geral de Angola em Durban, Balduino Bwanga, acompanhou, também, integralmente, a expedição, mas remeteu para “mais tarde” um eventual oposicionamento relativamente à adesão ou não do seu país à iniciativa. “Estou a acompanhar, depois passarei toda a informação a Luanda, claro que acompanhada dos meus comentários para quem de direito decidir. Confesso que é uma experiência muito interessante”, comentou Bwanga à revista Prestígio. As expedições do Esat3Route são caracterizadas por excursões de centenas de participantes, durante quase uma semana, por diversas regiões e locais eminentemente turístico-culturais de Moçambique, África do Sul e Suazilândia, envolvendo membros de governos, operadores turísticos e jornalistas dos três países. Itinerário A III edição do East3Route começou em Maputo; depois seguiu para a praia do Bilene, na província de Gaza; escalou, sucessivamente, a região oriental do Reino da Suazilândia de Simunye e Pigg´s Peak (Nordeste); a seguir, quase que a “rasgar” de uma ponta a outra o reino montanhoso, numa clara “queda” para o Sul (Lavumisa), entrou na África do Sul. O seminário de investimento realizado na região de Ezulwini, na Suazilândia (paredes meias entre Manzini e Mbabane), foi o ponto mais alto da edição deste ano, muito concorrida por empresários moçambicanos, muitos dos quais viajaram no mesmo dia expressamente para assistir ao evento e regressar a Maputo. Este seminário foi considerado o “mais forte” de todos, dada a frontalidade demonstrada e qualidade dos assuntos debatidos, com maior enfoque para a problemática das barreiras existentes no fluxo de negócios e dos respectivos protagonistas nos três países membros do East3Route e as propostas lançadas para a sua remoção. No país de Madiba o primeiro local visitado foi o mais antigo parque nacional da África do Sul, o Hluhlue Imfolozi, onde os expedicionistas participaram num seminário sobre os esforços visando combater a caça furtiva, principalmente do rinoceronte, aliás, o brasão desta estância e um dos principais alvos dos caçadores furtivos. A expedição incluiu visitas à vila cultural KwaBulawayo, o antigo quartel-general de Shaka Zulu em Shakaland e o Forte de Nongqai, em Eshowe, onde o turista pode apreciar a documentação sobre a batalha de Gingindlovu no Séc. IXX e na qual morreram mais de 1200 zulus nas refregas com soldados britânicos. Garantias da África do Sul Durante muito tempo reinou algum desconforto causado pela indecisão sobre o futuro das expedições do East3Rout, tendo em conta que as anteriores (2011, 2012 e 2013) foram quase que integralmente financiadas pelo Governo da África do Sul, num total de 18 milhões de randes (cerca de 64 milhões de meticais). O alívio surgiu precisamente no penúltimo dia da III expedição, em Richard´s Bay, quando Mabuyakhulu anunciou que o seu país vai assegurar 50% dos encargos financeiros das próximas três edições do East3Route, sem, no entanto, avançar os valores, mas que obviamente vão escalar, tendo em conta que contam com um novo membro: Seychelles. Fica, assim, lançado o desafio para os governos e sector privado dos restantes países membros do East3Route para assegurarem os remanescentes 50% necessários para a continuação destes certames. Maior visibilidade para Seychelles Porque as Ilhas Seychelles decidiram aderir ao East3Route, a revista Prestígio entrevistou a directora executiva do turismo daquelas ilhas, Sherin Naiken, na cidade portuária sul-africana de Richard´s Bay, cujos extractos mais importantes aqui reproduzimos: Quando é que pela primeira vez ouviu falar do East3Route? E depois? Foi em Durban, durante o INDABA/13, num dos vários seminários que são realizados ao longo daquele evento. Decidimos que seria importante para nós aderir ao East3Route. Porquê? Porque sendo as Seychelles um país pequeno, ganharia maior visibilidade trabalhando com outros países da região continental da África Oriental. Acreditamos que em conjunto todos sairemos a ganhar ainda mais. Mas a marca da organização menciona apenas três países (África do Sul, através da região de KwaZulu-Natal, Moçambique e o Reino da Suazilândia). Será que passaremos a ter um East4Route? Nós nem queríamos que se mexesse na actual marca, mas é entendimento dos outros membros que, em princípio, se deve manter a marca e o respectivo logótipo, apenas com um pequeno “toque” para incluir uma das cores simbólicas das Seychelles. Como será feita a ligação entre as Seychelles com os outros países desta rota durante as excursões anuais do East3Route? Revista moçambicana PRESTÍGIO

22.11.13

Bissau: 800.000 eleitores potenciais

O governo de transição da Guiné-Bissau conta recensear 800 mil eleitores no país e na diáspora, disse hoje à agência Lusa o ministro da Administração do Território, Batista Té. O número previsto supera em 200 mil o número de eleitores que está registado desde o último recenseamento, realizado em 2008, com cerca de 600 mil pessoas nos cadernos eleitorais. Batista Té falava à Lusa depois de o presidente de transição ter assinado, na sexta-feira, o decreto que adia as eleições gerais (legislativas e presidenciais) de 24 de novembro para 16 de março de 2014. "O governo de transição conta recensear 800 mil potenciais eleitores no país e na diáspora", durante o processo que vai decorrer de 1 a 21 de dezembro, referiu Batista Té. De acordo com aquele responsável, "mais de três mil pessoas vão estar mobilizadas no recenseamento que deve arrancar, impreterivelmente, no dia 01 de dezembro". O presidente de transição, Serifo Nhamadjo, será o primeiro a ser registado e receberá o cartão número 1, acrescentou. Batista Té adiantou à Lusa que 200 "kits" (conjuntos) de equipamento para registar os eleitores devem chegar nos próximos dias à Guiné-Bissau. Cada conjunto inclui computador portátil, máquina fotográfica, equipamento para leitura das impressões digitais, equipamento de códigos de barras e um gerador, por forma a permitir realizar o recenseamento em qualquer ponto do país.

Bissau: 568 anos de contacto

Desde 1445 que os portugueses ouvem notícias da Guiné, que hoje é de Bissau e que nessa altura andava a ser desvendada por homens como Nuno Tristão ou Antão Gonçalves, depois de terem passado pelo Sara Ocidental e pela costa da Mauritânia. Há 568 anos que ouvimos falar dos guinéus, esse povo a que pertencem Kumba Ialá, Carlos Gomes Júnior, e António Indjai, que nos últimos anos têm sido peões de uma luta sem tréguas. É na expectativa da consolidação da independência de um país ainda jovem que aguardamos saber quem é que virá dentro de algum tempo a ser eleito para a chefia do Estado. De qualquer modo, a todos os dirigentes guineenses pedimos: alfabetizem, alfabetizem muito, ponham mais de 70 por cento da vossa população a falar português, para que assim se fomente a unidade nacional, não havendo necessidade de se ficar dependente dos jogos de grupos ou de etnias. Nem de cobiças externas. JH

Frelimo perde lugares nas assembleias municipais

Os resultados parciais das eleições realizadas quarta-feira em 52 autarquias moçambicanas(escrutínio de Nampula foi anulado) indicam um valente abanão da representação da Frelimo em toda a linha, apesar de este partido governante desde a independência de Moçambique ter “esmagado” o MDM na maioria dos municípios. Dados disponíveis indicam que a Frelimo venceu as eleições municipais em toda a região Sul de Moçambique. A Frelimo venceu também em Gondola, província central de Manica, enquanto o MDM logrou manter as presidências dos municípios da Beira e de Quelimane, onde, pela primeira vez, vai, igualmente, dominar as respectivas assembleias municipais. Na maioria dos restantes municípios do país a Frelimo ganhou as respectivas presidências mas perdeu largamente assentos nas assembleias municipais a favor do Movimento Democrático de Moçambique, que logrou ganhos que nem a Renamo alguma vez conseguiu. “Filho da Renamo” Em meios habilitados valorizam- se, entre os factores que favoreceram o MDM nesta empreitada, os seguintes: a) O discurso sereno que cultivou na campanha tendente a cativar apoios de um eleitorado intranquilo face à crise político-militar; b) Terá captado o voto de parte do eleitorado da Renamo que se auto-excluiu da competição, em discordância com a composição dos órgãos eleitorais; o MDM é visto em sectores do referido eleitorado como “filho da Renamo”; c) O MDM revelou mais apurada capacidade de organização que a notada em eleições anteriores – à excepção do caso da Matola; o facto é associado a apoios materiais e técnicos mais vastos com que c o n t o u da parte de países nórdicos da Europa e de meios nos EUA, que também lhe dão amp a r o político; d ) A popularidade do p a r t i d o F r e l imo foi afectada pela presente crise políticomilitar. Correio da Manhã, Maputo

21.11.13

O perigo de uma Renamo ainda armada

Maputo, 19 Nov (AIM) - O Fórum dos Antigos Chefes de Estado e de Governo Africanos (Africa Fórum) condena a Renamo pelo recurso a violência para a satisfação das suas exigências, porque estas não são motivo suficiente para justificar o regresso à guerra. “Estamos a par das preocupações da Renamo, mas ao mesmo tempo estamos convencidos que estas não são motivo suficiente para o regresso a guerra de desestabilização”, refere um comunicado recente do Africa Fórum, emitido na cidade de Pretória, capital sul-africana. O Fórum também critica a Renamo, pelo facto de ser o único partido político em África e no mundo inteiro que exige ter o seu próprio exército e que se recusa a cooperar com o governo no processo de desarmamento e reintegração. “Na nossa opinião, a Renamo deveria aceitar a política de um desarmamento total e completo para que a sua demanda de reintegração possa continuar a ser resolvida”, afirma os antigos estadistas, que apelam a elaboração de um mapa para abordar as preocupações legítimas que afligem Antigos Estadistas africanos instam a Renamo a enveredar pelo diálogo todas as partes. Condena ainda qualquer tentativa de indivíduos singulares ou grupos de indivíduos que possam ameaçar a paz, estabilidade e o desenvolvimento de Moçambique. “Nós, Fórum Africa, estamos preocupados com o impacto da instabilidade nos esforços do governo para continuar a resolver as necessidades básicas dos Moçambicanos e para estabelecer um país próspero, forte e unido para as gerações presente e futuras”, lê-se no documento. Os antigos estadistas advertem que a instabilidade vai afectar o clima de investimentos no sector mineiro, e particularmente no turismo que é hipersensível a violência.

BIssau: A problemática figura de Braima Camará

Com a divulgação das provas inequívocas da implicação, desde há muitos anos, de Braima Camará no negócio do tráfico de drogas, a soldadesca entrou em paranoia, certa que está que se a sua eleição no próximo Congresso do PAIGC era problemática, agora com as provas provadas (ele) vai perder. Desde sempre que se sabe que ele foi condenado no Tribunal do Porto e que bateu lá com os costados nos calabouços durante três anos. Ficou-se agora a “saber-se” que ele foi absolvido e que para a prisão são mandados os não-culpados. Afinal ele não foi julgado como chefe da quadrilha da droga, mas por ter andado a passar cheques acarecados… Quando decidiu candidatar-se à liderança do PAIGC, deslocou-se a Amura para pedir autorização ao general António Indjai. Este olhou para ele de alto a baixo e disse: “mas tu não tens vergonha nenhuma! É a mim que acusam de traficante de droga, mas foste tu quem introduziu essa prática aqui na Guiné-Bissau!” Braima Camará empinou a cabeça, baixou os olhos e saiu do gabinete sem abrir a boca, com as calças na mão. A comunidade internacional já afirmou pública e sonoramente que no dia em que o Bá Kecuto for presidente, então não entra nem mais um CFA limpo no país. Daí que este ande a espalhar por todos os congressistas, milhares de francos, para ver se contraria a tendência de derrota que se avizinha. PASMALU (Braima Camará é o senhor aqui sentado junto do candeeiro, no Palácio de Belém, a dois passos do Presidente Cavaco Silva)

20.11.13

EUA à conquista de África

By Andrew J. Bacevich On the list of U.S. military priorities, Africa has always ranked right smack at the bottom. Now that appears to be changing. As Eric Schmitt recently reported in The New York Times, “thousands of soldiers once bound for Iraq or Afghanistan are now gearing up for missions in Africa.” Before the gearing up proceeds much further, Americans might want to ask a few questions. Chief among them are these: Why the sudden shift in priorities? What’s the aim? Who stands to benefit? What risks does the militarization of U.S. policy in Africa entail? Among the various services, the U.S. Army in particular finds the prospect of an expanded Africa presence appealing. As Schmitt observed, with U.S. forces out of Iraq and soon scheduled to leave Afghanistan, “the Army is looking for new missions around the world.” For Army leaders, Africa spells opportunity, a chance to demonstrate continuing relevance at a time when the nation’s appetite for sending U.S. troops to invade and occupy countries has pretty much evaporated. Thus, we have U.S. Army Africa, or USARAF, the latest in the Pentagon’s ever-growing roster of military headquarters. The mission of this command, which describes itself as “America’s premier Army team dedicated to positive change in Africa,” manages to be at once reassuringly bland and ominously ambitious. On the one hand, USARAF “strengthens the land force capabilities of African states and regional organizations.” On the other, it “conducts decisive action in order to establish a secure environment and protect the national security interests of the United States.” One might hope successfully accomplishing the first half of that mission — U.S. troops training and equipping African counterparts — will preclude the second. More likely, however, such efforts will pave the way for “decisive action,” a euphemism for war. Let’s discard the euphemisms. Here is a classic example of bureaucratic interests displacing strategic calculation, not to mention common sense, as a basis for policy. For the Navy and Air Force, the Obama administration’s much-ballyhooed “pivot” toward East Asia has come as something of a godsend. Addressing the putative threat posed by a rising China promises to keep those services busy, and flush with cash, for decades to come. Yet apart from a possible resumption of the long-dormant Korean War, Asian scenarios involving a large-scale commitment of Army forces are difficult to conjure up. So expanding the “global war on terrorism” into the heart of Africa allows the Army to make its own pivot. Initially, only small contingents of American soldiers will be venturing into Africa, consistent with the Army’s recently discovered affinity for what it calls a “light footprint.” Although these will be combat troops, their purpose will be not to fight but to coach, helping to create competent and politically reliable local forces. U.S. efforts to upgrade African military capabilities will no doubt create opportunities to market American-manufactured arms, a secondary benefit not lost on U.S. defense contractors. There are at least a couple problems here. The first is that when it comes to building foreign forces, the U.S. military’s track record is mixed at best. Take Iraq as an example. After foolishly dismantling Iraq’s army in 2003, the Pentagon toiled for years to rebuild it. That effort eventually allowed U.S. forces to quit the country. Yet as indicated by the daily insurgent attacks wreaking havoc in Baghdad and other cities, “our” Iraqi army is manifestly unable to maintain even minimally adequate internal security. If that’s success, it’s hard to imagine what failure looks like. Imagine hard enough, however, and you get Egypt. For decades, the United States worked to inculcate in Egypt’s army respect for the principle of civilian control. Yet this year when Egyptian senior officers contemplated a democratically elected government behaving in ways not to their liking, they promptly mounted a coup and overthrew it. Egyptian soldiers then brutally suppressed citizens who had the temerity to object. Meanwhile, Pentagon influence on Egyptian generals turned out to be nil. Perhaps worse from a U.S. perspective, modest troop commitments have a way of morphing into larger ones. When things don’t go right, Washington’s reflexive inclination is to up the ante. To sustain a few casualties is to create the impression of big stakes, with U.S. credibility ostensibly on the line and hawks insisting that turning things around will require “boots on the ground.” Lest that sound like some hoary reference to the escalatory actions that produced the Vietnam War, consider the words of then-Maj. Gen. Burke Garrett, who was USARAF’s commander until 2010. Taken alone, he remarked, USARAF might be small, but “we represent a million-person army — active, Guard and reserve — that we can ... bring to bear in Africa.” Africa has many needs. Whether it needs the United States bringing to bear a million American soldiers is doubtful. If Washington wants to encourage “positive change” in Africa, training a million African schoolteachers or a million doctors might be more useful. Efforts to build foreign armies are implicitly based on the assumption “backward” peoples want and will surely benefit from American tutoring. That paternalistic assumption, amounting to little more than a politically correct updating of the white man’s burden, deserves critical examination. Indeed, it should be abandoned as both false and pernicious — bad for Africans and bad for us. In the meantime, an army looking for new missions just might look closer to home. Andrew J. Bacevich is a professor of history and international relations at Boston University. His new book is “Breach of Trust: How Americans Failed Their Soldiers and Their Country.” He wrote this for the Los Angeles Times.

18.11.13

Casamento não é aconselhável antes dos 18 anos

NAIROBI (Thomson Reuters Foundation) - Sudan should raise the legal age of marriage from 10 years – the lowest in Africa – to 18, to comply with international child rights standards, according to a report released on Monday, which cited an overall improvement across the continent in child protection. If a girl is married before the age of 18, her body may not be fully developed and her education will probably be cut short. She is more likely to die as a result of pregnancy and childbirth, be beaten, raped or infected with HIV by her husband, abused by her in-laws and remain poor. Her children are more likely to die before the age of one, or grow up malnourished, poor and uneducated. In Sudan, where the Personal Status of Muslims Act of 1991 allows children - boys or girls - as young as 10 to marry, 38 percent of young women were married before the age of 18, according to a 2010 government survey. Blue Nile state had the highest rate of child marriage, with 62 percent of girls marrying before they turned 18 and 19 percent marrying before 15. Although the minimum age of sexual consent for a child is 18, an exemption in Sudan’s penal code protects the spouse from being charged for sex within marriage to a child under 18. GREATER CHILD PROTECTION The African Report on Child Wellbeing 2013, produced by the Ethiopia-based African Child Policy Forum research institute, found an improvement across the continent in the number of countries acting to end child marriage. Currently, 18 is the minimum age of marriage for both boys and girls in 33 countries - compared with only 30 countries having 18 as a minimum age of marriage for girls five years ago. Four other countries - Algeria, Lesotho, Libya, and Rwanda - have a minimum above 18 for both sexes. In the remainder of African countries, the minimum age is either discriminatory against girls or below 18. Girls are allowed to marry at age 15 in the Democratic Republic of Congo, Gabon, Seychelles, Cameroon, Niger, Swaziland, Tanzania and Malawi. For Senegal, Guinea-Bissau and Zambia, it is 16, while Chad and Burkina Faso allow girls to marry at 17. Like Sudan, Malawi is singled out as problematic for the discrepancy between the minimum ages for sex and marriage. While Malawi law prohibits sex with a girl or boy younger than 16, the constitution allows a child aged 15 to marry. However, unlike in Sudan, there is no exemption in Malawi law to protect someone from having sex with his or her 15-year-old spouse. “It is important that the minimum age of marriage is higher than the minimum age of sexual consent as consummation is a prerequisite for a valid marriage,” the report said. Earlier this month, Malawi’s President Joyce Banda issued a directive ordering parliament to raise the age of marriage to 18 or 21. The report found legal protection in general for children is improving: A total of 35 countries have enacted consolidated laws on children, up from 22 in 2007. These laws address issues like child trafficking, the right to education and the minimum age of marriage.